Aspect programmatique :
Le rédacteur doit s’assurer que les fichiers sources de la page du site pour laquelle il écrit sont correctement configurés.
En effet, les pages des sites sont parcourues par des robots aux algorithmes très puissants. Désormais la structure du site doit être cohérente, les métas données doivent être uniques et en lien avec le propos de la page concernée.
Les balises HTML de l’en-tête de la page répondent à des règles très précises qu’il convient de respecter si on souhaite obtenir un bon référencement.
Aspect rédactionnel :
La veille concurrentielle :
Pour rédiger un bon article il faut d’abord passer par une phase d’espionnage. Comment font les concurrents en tête des pages de recherches ? Que dit leur méta description ? Quelles formules ont-ils utilisé ? Sont-elles basées sur leur expertise ou sur leur image de marque ? En quelle année leur site a-t-il été mis en ligne ?
Les fameux mots-clés :
Le rédacteur se positionne en tant qu’usager. Quels mots taper dans le moteur de recherche pour trouver le site ?
- Le nom de la marque : si le site est bien conçu, c’est au début, la seule méthode pour arriver en haut des propositions du moteur de recherche.
- Les mots autour de l’activité de la marque : Le rédacteur effectue des recherches sur les préférences des usagers. Comment posent-ils leur question aux moteurs de recherches ? Cherchent-ils par exemple un « rédacteur » ou une « rédaction » ? Des outils tel que keywords planner de Google Adds permet de visualiser très clairement le nombre de requêtes pour chaque mot et le nombre de propositions offertes en réponse.
- Le nombre et la place des mots-clés : Là encore, c’est Google le maître du jeu. Les fameux pass pour l’optimisation du référencement seront positionnés dans les titres et dans le texte.

Le contenu ou web content :
Désormais, il n’y a plus un nombre de mots imposés, mais plus le texte est long (au-delà de 1200 mots pour un article) plus il aura de chance d’être bien référencé. En fait là, il est question de pertinence. Le texte doit être totalement en lien avec le titre principal. Il doit forcément apporter des informations aux usagers. C’est ce qu’on appelle le référencement naturel.
De plus, la structure hiérarchique devra être logique. L’importance des titres et leurs successions seront passées au crible par les robots.
La qualité rédactionnelle
Certaines demandes de clients poussent le rédacteur à écrire en employant des mots-clés qui n’ont pas grand-chose à voir avec le français. C’est pour ça qu’on retrouve parfois des textes faisant penser à un charabia. C’est parce que les usagers tapent un ou deux mots dans leur barre de recherches comme « rédacteur article » par exemple. C’est là que la suprématie « Google » risque d’appauvrir notre vocabulaire si personne n’y prend garde.
Mais nous sommes nombreux à rédiger en refusant ce genre de pratiques. Et cela fonctionne, car les moteurs de recherches reconnaissent l’expertise et la logique structurelle et sémantique.
Laisser le temps au temps :
Le référencement d’un site demande du temps. Les pages proposées à la suite d’une requête de l’utilisateur ont souvent un an ou plus. Les bonnes pratiques exposées ici ne sont qu’une partie de ce qu’il convient de faire pour optimiser un site. Une autre, qui fait appel au web content, est de définir une stratégie éditoriale et de fournir des contenus de qualité de manière régulière, la plus soutenue possible. Ce n’est qu’avec le temps, de la pugnacité, en se formant régulièrement aux bonnes pratiques et en restant vigilant aux mises à jour des fonctionnalités des robots des moteurs de recherche qu’on peut espérer obtenir un référencement optimal grâce, en partie, au web content.