Les astuces du rédacteur, 1re partie

Les rédacteurs en freelance rencontrent une certaine concurrence de la part des robots rédacteurs. Pas de panique ! Ces écritures automatiques n’ont pas la même créativité et ni la même maîtrise de la langue française. Les moteurs de recherche font désormais la différence entre les productions humaines et artificielles.  Cet article est donc un petit rappel des petites astuces qui permettent au rédacteur de sortir du lot et de réaliser des articles complétement originaux.

La construction générale  

L’astuce ici est… Qu’il n’y en a pas. Le mieux est d’écrire de façon très simple. Le titre doit décrire très précisément le contenu qui sera abordé. L’introduction pose le contexte des propos et annonce le plan de l’article. C’est très classique mais vraiment efficace. Le développement pourra en fonction des sujets partir du général au particulier ou l’inverse, ou encore être établi point par point.

Le ton adopté doit être au plus proche de celui employé lors d’un exposé oral. Le rédacteur prend alors une posture identique à celle d’un orateur. Les phrases doivent dont être assez courtes. Les enchaînements de propositions subordonnées sont souvent longs à lire et demandent une attention soutenue pour les comprendre. Pensez à Marcel Proust et à sa célèbre phrase de 856 mots dans son livre en 7 tomes « à la recherche du temps perdu » paru entre 1913 et 1927. Si les propos du romancier sont très compréhensibles, le rédacteur web, lui, évitera ce type de construction à haut risque pour qui ne possède pas le talent de Proust. Le lecteur d’un article sur le web est pressé, il est dans une démarche de recherche rapide et les informations doivent être concises.

Les figures de style

La forme affirmative

En rédaction web, on évite au maximum les phrases ou les mots jugés faibles, c’est-à-dire qui n’apportent aucune information. L’exemple typique est la phrase négative ! Nous utilisons ces formulations spontanément auprès de nos enfants : « Rassurez-vous ! » Car « ne vous inquiétez pas » suggère l’existence d’une raison de le faire qui est naturellement anxiogène. C’est grâce aux psychologues que nous savons ça, ils assurent que le cerveau ne comprend pas les négations. Le rédacteur doit être vigilant et les identifier pour les transformer en affirmations.

L’analogie

Une des figures qui fonctionne particulièrement bien est l’analogie. C’est alors que le rédacteur peut, par exemple, choisir de comparer, dans les mauvais jours, son activité à celle de Chaplin dans les temps modernes qui travaille à la chaîne à en devenir fou. S’il est bien luné, il peut établir un parallèle avec l’amoureux transi qui écrit à longueur de journée de magnifiques lettres d’amour. La métaphore de la colombe qui inspire un sentiment de paix peut alors représenter le pauvre travailleur qui termine sa journée dans l’admiration extatique de sa prose rédigée sur commande. Lorsque le rédacteur est au bout du rouleau, mais qu’il tient bon, malgré tout, il en arrive à personnifier son ordinateur. Il le nomme son ami galérien, le vilain qui se plante sans arrêt, toujours suivant l’humeur qui l’anime au moment de la transcription. Et juste avant l’épuisement, vient l’allégorie, celle du bateau qui après avoir affronté vents et marées est submergé par l’océan et finit par couler. C’est à ce stade que le pauvre copywriter doit sérieusement songer à aller se reposer.

Le web content a ses propres règles

Aspect programmatique :

Le rédacteur doit s’assurer que les fichiers sources de la page du site pour laquelle il écrit  sont correctement configurés.

En effet, les pages des sites sont parcourues par des robots aux algorithmes très puissants. Désormais la structure du site doit être cohérente, les métas données doivent être uniques et en lien avec le propos de la page concernée.

Les balises HTML de l’en-tête de la page répondent à des règles très précises qu’il convient de respecter si on souhaite obtenir un bon référencement.

Aspect rédactionnel :

La veille concurrentielle :

Pour rédiger un bon article il faut d’abord passer par une phase d’espionnage. Comment font les concurrents en tête des pages de recherches ? Que dit leur méta description ? Quelles formules ont-ils utilisé ? Sont-elles basées sur leur expertise ou sur leur image de marque ? En quelle année leur site a-t-il été mis en ligne ?

Les fameux mots-clés :

Le rédacteur se positionne en tant qu’usager. Quels mots taper dans le moteur de recherche pour trouver le site ?

  • Le nom de la marque : si le site est bien conçu, c’est au début, la seule méthode pour arriver en haut des propositions du moteur de recherche.
  • Les mots autour de l’activité de la marque : Le rédacteur effectue des recherches sur les préférences des usagers. Comment posent-ils leur question aux moteurs de recherches ? Cherchent-ils par exemple un « rédacteur » ou une  « rédaction » ? Des outils tel que keywords planner de Google Adds permet de visualiser très clairement le nombre de requêtes pour chaque mot et le nombre de propositions offertes en réponse.
  • Le nombre et la place des mots-clés : Là encore, c’est Google le maître du jeu. Les fameux pass pour l’optimisation du référencement seront positionnés dans les titres et dans le texte.
La rédaction de web content demande une expertise professionnelle

Le contenu ou web content :

Désormais, il n’y a plus un nombre de mots imposés, mais plus le texte est long (au-delà de 1200 mots pour un article) plus il aura de chance d’être bien référencé. En fait là, il est question de pertinence. Le texte doit être totalement en lien avec le titre principal. Il doit forcément apporter des informations aux usagers. C’est ce qu’on appelle le référencement naturel.

De plus, la structure hiérarchique devra être logique. L’importance des titres et leurs successions seront passées au crible par les robots.

La qualité rédactionnelle

Certaines demandes de clients poussent le rédacteur à écrire en employant des mots-clés qui n’ont pas grand-chose à voir avec le français. C’est pour ça qu’on retrouve parfois des textes faisant penser à un charabia. C’est parce que les usagers tapent un ou deux mots dans leur barre de recherches comme « rédacteur article » par exemple. C’est là que la suprématie « Google » risque d’appauvrir notre vocabulaire si personne n’y prend garde.

Mais nous sommes nombreux à rédiger en refusant ce genre de pratiques. Et cela fonctionne, car les moteurs de recherches reconnaissent l’expertise et la logique structurelle et sémantique.  

Laisser le temps au temps :

Le référencement d’un site demande du temps. Les pages proposées à la suite d’une requête de l’utilisateur ont souvent un an ou plus. Les bonnes pratiques exposées ici ne sont qu’une partie de ce qu’il convient de faire pour optimiser un site. Une autre, qui fait appel au web content, est de définir une stratégie éditoriale et de fournir des contenus de qualité de manière régulière, la plus soutenue possible. Ce n’est qu’avec le temps, de la pugnacité, en se formant régulièrement aux bonnes pratiques et en restant vigilant aux mises à jour des fonctionnalités des robots des moteurs de recherche qu’on peut espérer obtenir un référencement optimal grâce, en partie, au web content.

Recette de crème hydratante pour les copines 😍😍

Crème hydratante

Lorsque que je pense qu’une de mes trouvailles mérite d’être partagée, je l’offre aux personnes que j’aime. Claire, Opa, Marie, Nina ont plébiscité cette recette et parce que être rédacteur c’est savoir TOUT rédiger, je vous la livre bien volontiers.

Se préparer à réaliser la recette de crème hydratante :

Le matériel et les supports utilisés doivent être propres et secs. Les ingrédients proposés sont naturels, mais je vous invite à vérifier s’ils ne présentent aucun risque d’allergie si vous y êtes sujet.

Matériel et ingrédients pourLa crème de jour :

  • 1 balance
  • 2 petits ramequins en inox ou en verre
  • 1 mini fouet, ou une fourchette pour enfant
  • 1 pot vide de 50 ml en verre ou en plastique
  • 1 petite marise en silicone
  • 34 g d’hydrolat ( eau florale) de rose
  • 2-3 g d’extrait de miel
  • 10 g de beurre de karité ou d’huile d’argan
  • 4 g de cire émulsifiante
  • 10 gouttes de Cosgard

Réalisation de la crème pour le visage :

Mélanger le miel et l’hydrolat dans le premier ramequin.

Mettre la cire et le beurre de karité dans le second.

Mettre les deux ramequins dans un bain marie à feu doux, jusqu’à ce que la cire et le beurre soient entièrement fondus.

🎈 IMPORTANT : Hors du feu, verser le mélange beurre/cire dans le mélange hydrolat/miel.

Fouetter énergiquement jusqu’à ce que la crème de jour blanchisse et devienne parfaitement homogène. Cela peut prendre de 30 secondes à 3 minutes.

Ajouter le Cosgard et mélanger à nouveau soigneusement.

Verser dans le pot.

Variantes de la crème hydratante :

Les ingrédients ont été choisis pour ma peau qui est sensible et mature, mais vous pouvez parfaitement l’adapter à vos besoins :

Pour une peau sèche, vous pourrez opter pour un hydrolat de camomille, une huile d’amande douce et du beurre de cacao. Si elle est normale, le cassis, le jojoba remplaceront efficacement la rose et le karité. Vous pourrez conserver le jojoba si elle est grasse, mais préférez l’hydrolat de menthe au lieu de la rose et l’extrait de concombre à la place du miel. Pour les peaux sensibles, la camomille, l’amande douce et l’extrait de mauve sont apaisants et protecteurs.

Cette crème de jour laisse la peau très douce, parfumée. Elle apporte un réel confort.

Personnellement, j’ai choisi de me fournir dans un magasin bio, mais ces ingrédients se trouvent assez facilement sur le net. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez d’autres renseignements.

Liens utiles :

https://www.aroma-zone.com/

Quèsako un Rédacteur ?

Mais qu'est-ce que c'est un rédacteur ?

C’est bien connu, tout le monde sait écrire. Alors à quoi et à qui ça sert un  rédacteur ?

Les entreprises ont besoin d’un Rédacteur en chef pour  :

Etablir leurs stratégies de communication. Le rédacteur les met en application via les supports choisis. Il peut alimenter un site, publier des articles de blog ou poster des informations sur les nouveautés de l’entreprise, sur les réseaux sociaux. Il peut également diffuser des notes de service, rédiger des contrats de travail ou encore concevoir des articles très spécifiques, techniques, scientifiques entre autres. Il peut également réaliser des recherches documentaires et les synthétiser sur demande.

Les particuliers : Ce n’est pas toujours évident de rédiger pour soi-même

Il est parfois difficile de rédiger son propre C.V. par manque de recul sur ses expériences ou formations. De même, certains courriers aux administrations sont coûteux émotionnellement. Il est difficile de garder son sang-froid lorsque l’on se sent victime d’une injustice par exemple.

Il arrive aussi que certains étudiants aient besoin d’une aide à l’élaboration d’un plan pour un mémoire, ou d’un coup de pouce sur des notions qu’ils ne maîtrisent pas encore.

Le rédacteur est polyvalent :

Toutes ces tâches relèvent de sa compétence, le rédacteur est souvent spécialisé dans un ou plusieurs domaines. Il en existe forcément un qui pourra rédiger sur « la reproduction des drosophiles » par exemple.

Beaucoup d’écrivains publics sont formés au SEO, Search Engine Optimization, ou référencement naturel, qui consiste à insérer des mots-clés pour permettre aux internautes de trouver facilement LE bon rédacteur.

Passion d’écrire

Je suis passionnée de littérature et d’écriture. Internet et l’avènement des réseaux sociaux m’offrent ainsi une formidable opportunité : celle d’offrir mes compétences, de les partager. J’espère, grâce à ce blog, transmettre un peu de ce plaisir sans cesse renouvelé que j’ai à chaque auteur découvert, en tentant un exercice de rédaction différent. Les mots transportent tellement ! Je vous invite dans ce qui est mon domaine où la plus belle chose à gagner est la liberté d’expression sous toutes ces formes. Soyez les bienvenus !

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